de Paris a Connecticut..

On était à table l’endroit était précis et l’heure précise. 

C’était presque un rendez-vous, ça sonne toujours sérieux de se dire telle chose et pourtant dans ce sérieux presque repoussant quelque chose d’énigmatique nous attire vers celui-ci, avec quoi va-t-on bien ressortir de ce rendez-vous ?

Une vision, oui, partagée. Elle ressembleras à celle d’une union presque triangulaire, non par amour de la scolarité mais pour celle de la cause. Une union entre Buenos Aires, Paris et le Connecticut qui sans ce dernier n’écrirais-je sûrement ces prochaines lignes. Celui qui m’a ouvert les yeux. 

 

Oui c’est bien ça en entrant ici chez Dylan vous tendait la main à ses différents paysages et couleurs qui les dessinent. Tendez votre main droite et valsez vers la poésie de nos rues dorées par nos lampadaires curieux de nos discours nocturnes jusqu’au lever de notre belle lumière chancelante. 

 

Penchez-vous vers la gauche et voyager à 11 000 km de notre capitale pour goûter à une fourchette tout aussi différente que somptueuse, où la chaleur des plats passionnels abolissent chaque frontières possible. Avancez vos deux mains, vos deux différents Paris, un où l’on philosophe sûrement un peu trop, et un autre où l’extase de la vie s’étends plus que sur le bout de notre bouche. Unissez-les à plusieurs milliers de kilomètres de chacun dans l’état du Connecticut où plus tard, bien plus tard, bien après ce rendez-vous apparaîtras chez Dylan. 

 

Ainsi à chaque union, à chaque rencontre, c’est un moment que vous partagez dans un lieu en commun pour quelques instants. C’est précisément pour la beauté de ces petits instants si précieux à nos yeux qui détiennent de tant de pouvoir, d’histoire que nous vous servons, que nous servons chez Dylan.

Dylan  Sebaoun